Le brassage de la Parisis, du malt à la bouteille

Découvrez ici les secrets de fabrication du druide d’Épinay, jalousement gardés de générations en générations.

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Du malt, de l'eau chaude, une trèèèèèèès grosse fourchette, et on est parti pour 1H de mélange pour retirer un maximum de sucre du malt.

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En gros, une maxi passoire, on filtre et on ne récupère que la partie liquide.

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Si le nom de cette étape n'est pas assez clair, alors je ne peux plus rien pour vous. On cuit et on houblonne, c'est bon, c'est chaud, ça brûle, ça sent le sapin.

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Parce que, comme vous, la levure a un peu de mal avec les bains à 100°C, on descend un peu la température du mélange.

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C'est là que la magie opère, les levures festoient et transforment le buffet de sucre en un pot-au-feu de gaz et d'alcool.

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C'est terminé, repos forcé au froid pour tout le monde, la bière est presque prête, seul le temps est maître de cette étape.

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